Petit retour sur Intouchables ; vous avez pu remarquer que ce film est un succès. Il fait partie de ces films français qui ont marqué le coup, et dont la promotion a pu se faire dans de nombreux médias… Des micros-trottoirs dans de grands journaux télévisés ont illustré l’attrait que les gens ont porté au film. De plus, avec plus de deux millions d’entrées en une semaine, il est même qualifié de phénomène de société. Le film est une ode à la joie de vivre et aux relations humaines, et il est dur de critiquer un tel message…
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Intouchables : un phénomène de société
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Appel à témoin
L’APF recherche des personnes qui ont vu le film Intouchables et qui sont prêt à témoigner auprès de journalistes. Que vous soyez en situation de handicap, un accompagnant, une auxiliaire de vie… Vous pouvez donner votre ressenti sur le film.
N’hésitez donc pas à contacter notre délégation si vous êtes intéressé, nous vous mettrons en relation avec les journalistes.
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"Intouchables" d'Eric Toledano et Olivier Nakache
On peut déplorer de ne pas assez voir le thème handicap dans le cinéma national ou international, qui bénéficie de grandes campagnes publicitaires. Le dernier grand film en date qui plaçait une personne en situation de handicap au cœur de l’intrigue est certainement Avatar de James Cameron. Cependant, aujourd’hui, nous ne pouvons pas nous plaindre : "Intouchables", un film français qui parle exclusivement du handicap vient de sortir dans les salles obscures, et accrochez-vous, c’est une comédie ! -
"Miroir de mon âme" ou l'identité visuelle
« Miroir de mon âme » est un nouveau documentaire d’environ 52 minutes sur une problématique du quotidien pour les personnes en situation de handicap : le regard des gens. Réalisé par Deza Nguembock, le film a été projeté mercredi dernier en avant-première à Paris.
« Je m’aperçois, à 27 ans, que, finalement, le pouvoir de l’image était ce qui m’a le plus fermement enchaîné à un moi idéal (…). Mon image s’est forgée dans la publicité, les journaux et un constat s’est imposé de façon de plus en plus douloureuse au fil de mon adolescence : je ne suis pas comme cela. »