Le parc départemental des Hautes-Bruyères à Villejuif, c’est le point culminant du Val-de-Marne (110 m d’altitude), dominant ainsi les vallées de la Bièvre et de la Seine. Plusieurs endroits peuvent être visités :

• Depuis 2005, le parc présente un jardin de plantes médicinales grâce à la présence du domaine médical à Villejuif.

• Un mail composé de noisetiers de Byzance surplombe un canal qui s’organise sur deux niveaux. L’un maintient un équilibre biologique indispensable, et l’autre, une cascade intermédiaire, agrémente la promenade le long des berges plantées.

• A proximité du centre-ville, un lieu de détente réservé à la circulation piétonne et au repos s’intègre à l’environnement urbain avec une place ombragée, un jardin d’eau et une vaste pelouse.

Une partie de nos adhérents (Simonne Bender, Pascale Coppola, Alexandre Augustin, Bernard Le Ligné, Alex Tiascioglu et Danielle Grosjean) est allée visiter ce parc pour tester son accessibilité. Au final, c’est un cadre vraiment agréable selon la plupart d‘entre eux, même si certains petits défauts ont été remarqué. Cependant, régler ces problèmes était le but de cette mise en situation réelle organisée par le Conseil Général du Val-de-Marne. Ainsi, il y a une volonté de toujours rendre ce parc plus accessible qu’il ne l’est déjà.

Un de nos adhérents nous a indiqué un article paru hier dans le Parisien où un immeuble est en panne d’ascenseur depuis le mois de mars. Si ce fait qui se déroule à Alfortville peut être anodin au premier abord, il pose un problème délicat pour les habitants de l’immeuble. Et plus particulièrement pour un enfant de 13 ans en situation de handicap.

Pour ce dernier, c’est la vie qui s’arrête : il ne peut plus aller à l’école, il ne peut plus voir ses amis… Les frontières de son monde se sont réduites d’un coup à son appartement, au désespoir de sa mère. Cet article met également en exergue la portée universelle de l’accessibilité ; en plus de cet enfant en situation de handicap, il y a aussi des personnes âgées qui n’osent plus sortir, et une femme enceinte qui a dû appeler les pompiers pendant qu’elle descendait les escaliers depuis le 10^ème étage.

Ce sont de genre de raisons concrètes qui doivent nous pousser à continuer le combat !